J’ignore si c’était l’effet de la fin d’année qui me mettait dans un mood léger ou juste un épuisement total que je ressens ces derniers temps, mais je me suis inlassablement plongée dans un marathon de Rom-coms des années 90 et début 2000.
Les afterworks à Dakar sont devenus incontournables, indispensables même à la vie sociale sénégalaise.
Adolescente, je n’ai jamais eu de problèmes de peau. Toujours lisse, toujours tirée, toujours belle, l’acné n’avait rien contre moi. Je regardais de loin mes amies et proches se battre contre leurs éruptions cutanées sans trop comprendre, encore moins m’intéresser à leur combat.
Ces dernières années ont vu fleurir de nombreuses marques sénégalaises de mode. Héritières des grandes Collé Sow Ardo, Diouma Dieng Diakhaté ou encore Oumou Sy, ces jeunes créatrices – et créateurs – ont de quoi rendre fiers leurs aînées. Certains, qui s’évertuent à sortir du schéma traditionnel du boubou, proposent des coupes à la pointe de la tendance tout en restant distinctives et authentiques.
